La transition numérique s'opère dans l'ensemble des secteurs d'activité, et notamment celui de la propreté. Mobilité connectée, progiciels, robotisation, internet des objets et bâtiments intelligents, plateformes désintermédiées, etc. : le pôle Etudes, recherche et développement du Monde de la Propreté a réalisé une étude des tendances numériques dans le secteur auprès des entreprises, des clients et des fournisseurs pour mesurer les impacts observés, et les évolutions envisageables à court, moyen et long terme.
Téléchargez les études réalisées sur le sujet ci-dessous :
-> La transition numérique dans le secteur de la propreté. Document de synthèse.
Visionnez les vidéos qui présentent la synthèse des résultats :
Episode 1 - Niveau de maturité des technologies
Episode 2 - Evolution des attentes clients
Episode 3 - Impact selon la taille des entreprises
Le travail en journée dans le secteur de la propreté est un sujet qui a émergé fortement à la fin des années 2000. Il est un enjeu social important, mais aussi une occasion de développement économique. En s'appuyant sur différentes études, notamment celles réalisées par le Monde de la Propreté en partenariat avec le laboratoire Atemis, il est dressé un état des lieux et sont évoquées les persectives.
-> La propreté en journée : enjeux et perspectives - avril 2019
En complément de cette étude, le Monde de la Propreté met à disposition un espace complet pour accompagner les entreprises qui le souhaitent dans la mise en oeuvre du travail en continu et/ou en journée : https://www.monde-proprete.com/travail-en-journee?tid=2
Pour les acheteurs et clients des entreprises de propreté, un ensemble de ressources (principes de mise en oeuvre, clause type à intégrer dans l'appel d'offres, etc.) est également disponible sur le site achat-proprete.com.
Les entreprises de propreté s'organisent et fonctionnent de façon diverse, avec des modèles économiques sous-jacents qu'une étude réalisée en 2016 a permis de mettre en évidence, en proposant une grille de lecture et d'analyse nouvelle.
Organisation du travail et modèles économiques dans le secteur de la propreté - mai 2018
La propreté est un secteur d'activités de services où la question de la relation client est essentielle. Le Fare Propreté a piloté au cours de l'année 2014/2015 des "ateliers de la relation client" au cours desquels ont été étudiées par des groupes de travail les différentes dimensions de la question, dans une approche prospective.
La propreté est un secteur économique à forte intensité de main d'oeuvre et à l'activité continue qui génère des besoins considérables d'embauche. Le Fare propreté a piloté de juillet 2014 à janvier 2015 une étude quantitative et qualitative qui permet de mieux en cerner les enjeux, d'identifier les atouts des entreprises du secteur et les principales questions auxquelles elles doivent répondre.
La propreté est un secteur souvent considéré comme ayant une forte vocation d'insertion professionnelle. Le Fare propreté a mené une étude en 2015 auprès d'entreprises de propreté, de donneurs d'ordres et d'acteurs du monde de l'insertion pour mieux cerner les contours de la question et les différentes dimensions de la notion d'insertion dans le secteur.
Temps partiel et multi-emploi
Dans chaque entreprise de propreté, 53 % des contrats relèvent en moyenne de salariés multi-employeurs, et 40 % des travailleurs du secteur ont plusieurs emplois simultanément. Si seulement un quart des contrats signés sont à temps plein, en réalité 35 % des salariés travaillant dans le secteur de la propreté ont un temps de travail hebdomadaire supérieur ou égal à 35h, et le temps de travail total cumulé des salariés de la propreté est en moyenne de 24h/semaine.
Temps partiel et multi-emploi - septembre 2014
> La création d'entreprise
La création d’entreprises reste dynamique dans le secteur et est particulièrement accentuée, depuis 2009, par les créations sous statut auto-entrepreneur, même si beaucoup d’entre eux n’ont qu’une faible activité économique. En 2012, le taux de création d’entreprises de la propreté est proche de 30% et varie entre 18 et 39% selon les régions.
La création d'entreprise - avril 2014
> Les auto-entrepreneurs
Depuis l’instauration du statut en 2009, le secteur de la propreté attire les auto-entrepreneurs. Ils étaient plus de 23 000 en 2013 et 73% des créations se sont faites cette année là sous ce statut. Toutefois, leur activité économique est très marginale : seuls 60% des auto-entrepreneurs sont actifs et le chiffre d’affaires qu’ils réalisent représente seulement 0,6% du total du secteur.
Les auto-entrepreneurs - avril 2014
> Les défaillances d'entreprise
Plus de 600 entreprises de propreté ont été en situation de défaillance en 2013. Avec un taux supérieur à celui de l’ensemble des secteurs d’activité, les entreprises de propreté sont plus fragiles que la moyenne et ce sont particulièrement les jeunes entreprises qui sont les plus menacées. Selon les régions, le taux de défaillance varie entre 0,9% et 3,3%.