La mobilité : et si c’était un enjeu de recrutement pour nos entreprises ?

L’urgence climatique est là. L’accord de Paris prévoit que l’empreinte carbone moyenne d’un Français pour la mobilité passe de 2,9TC02 / an, le niveau de 2015 à 0,3Tde CO2/an d’ici 2030 afin de maintenir l’augmentation de la température au niveau mondial au-dessous de 2°C.

Dans l’entreprise, la gestion des difficultés quotidiennes, le manque de moyens, la difficulté d’identifier des solutions laissent peu de possibilité pour s’engager sur ce sujet à la hauteur de l’enjeu mondial. 


Mais concrètement, la mise en place d’un programme de mobilité durable n’en est pas moins inévitable et indispensable dans nos entreprises de propreté. C’est un enjeu RH, tant il est de plus en plus difficile de recruter des collaborateurs en capacité de se rendre sur les chantiers. C’est notamment un enjeu social d’amélioration du pouvoir d’achat de nos salariés (une voiture individuelle, utilisée dans les trajets domicile-travail coûte en moyenne 5 000€/an).


C’est aussi une obligation réglementaire qui se renforce : la loi Climat et Résilience, adoptée en août 2021, prévoit la création de zones à faibles émissions de mobilité avant le 31 décembre 2021 dans toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants et accélère l’obligation d’incorporer des véhicules à faibles émissions dans les flottes d’entreprises comprenant plus de 100 véhicules : 40% en 2027 et 70% en 2030. 


La nouvelle offre d’accompagnement sur la mobilité proposée par le Fare Propreté, vous invite à vous emparer du sujet, à chercher des solutions pour réduire vos déplacements, trouver des alternatives à la voiture et lorsque l’usage de la voiture individuelle reste nécessaire, à optimiser vos flottes de véhicules. Elle prévoit des outils de sensibilisation pour tous les niveaux de l’entreprise et des outils de dialogues avec vos clients tant le sujet est complexe et appelle aux changements des comportements individuels.